Les élections « n’ont pas répondu aux normes internationales minimales », a déclaré le chef
La diplomatie de l’UE Josep Borrell dans une déclaration au nom des 27 États membres de l’UE.
Respect insuffisant du pluralisme politique et de l’exclusion et de la criminalité
poursuite des dirigeants de l’opposition Union, selon Borrell, ne permet pas de reconnaître cette
processus électoral considéré comme crédible.
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Maduro et ses alliés politiques de gauche ont gagné plus de 67pour cent
votes, il résulte des résultats officiels préliminaires du recensement, qui
boycotté les principaux partis d’opposition.
Les ministres des Affaires étrangères des pays membres de l’UE, qui lundi
rencontré à Bruxelles, dans les mots Borrell, les autorités vénézuéliennes exhortent
pour commencer le processus de transition vers le règlement de la crise politique par
des élections législatives et présidentielles crédibles et transparentes
dont toutes les parties sont représentées.
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Les États-Unis ont annoncé lundi que le chef de l’opposition vénézuélienne
Juan Guaidoa continuera d’être reconnu comme président de cette
pays — malgré les élections litigieuses qui ont assuré le contrôle de Maduro
sur toutes les institutions de l’État.
Le secrétaire d’État américain Mike Pompeo a écrit sur Twitter que
élections « ne répondent pas à des normes minimales de crédibilité », et
les a marqués une tentative de « voler l’avenir démocratique du Venezuela. » USA
selon ses observations appellent tous les pays à faire de cette élection
« escroquerie » ils ont refusé.
Des représentants du groupe de Lima, un bloc qui rassemble certains pays
l’Amérique latine et le Canada, la communauté internationale a également appelé
résultats électoraux refusés, écrit agence DPA.
« La communauté internationale ne peut pas permettre Maduro, qui prend
pouvoir illégalement, parce qu’il a volé l’élection de 2018, a gagné le bénéfice de
par le vol de la deuxième élection », a déclaré Pompeo, dont
commentaires négociés par l’AFP.
Maduro, un ancien chauffeur de bus qui est devenu président en 2013 après
décès de son prédécesseur et mentor Hugo Chávez, a été réélu en 2018
pour le poste de président. Parlement contrôlé par l’opposition et international
la collectivité a désigné l’élection alors comme illégitime et titulaire
Le président a été déclaré par Guaidó au début de 2019. Il a été soutenu par les États-Unis, l’UE
ainsi que de nombreux pays d’Amérique latine.